dimanche, septembre 24, 2006

Journée à la Base aéronavale Nîmes-Garons

Quel plaisir de voir évoluer dans le ciel nimois ces avions "célèbres" de la dernière guerre. Ici au centre un "spifire anglais" chargé d'intercepter les bombes volantes V1 et V2.
Je ne suis pas très connaisseur mais celui-là nous a fait une belle démonstration ...en vol!
Celui-là, je m'en rappelle très bien . Pendant la guerre "ils passaient" par centaines sur nos têtes pour aller bombarder les points stratégiques de la région . il s'agit d'une des première "forteresse volante" J'ignore le nom de celui là beaucoup plus récent qui nous a gratifé .. de quelques beaux raze-mottes".... et puis il y eut aussi la patrouille de France, les "rafales","étendards" et "F 16" bref une magnifique journée où nous n'avons même pas eu le temps de nous restaurer. Posted by Picasa

mardi, septembre 19, 2006

2006 la cave coopérative de Villevieille

Les caves coopératives viticoles vont-elles disparaître ? C'est le sentiment que l'on a . En effet de plus en plus les "grosses exploitations" préfèrent traiter leur récolte dans leur cave particulière afin de "revaloriser" leur vin, et puis il faut le constater aussi, il n'y a pratiquement plus de "petits propriétaires" donc presque plus de coopérateurs.
Dans la région les caves coopérative de Marsillargues (la plus grande d'Europe) ainsi que celle de Lunel ont fermé. Pour le moment à Sommières on ne "traite" plus le raisin et les coopérateurs apportent leur récolte à Aspères. En fait on assiste dans le midi a un regroupement de caves. Est-ce de bon augure ? Posted by Picasa

VENDANGES 2006


On ne voit pratiquement plus personne dans le vignes ....Seul bruit de la machine à vendanger
indique que la récolte va être vite enlevée. Posted by Picasa

dimanche, septembre 17, 2006

NON : Je n'ai pas changé....chanson de J.Iglésias


Comme le chantait si bien Julio....je n'ai pas tellement changé . Pourtant ces deux photos prises à un peu plus de 50 ans (2005/1954) au même endroit, devant l'entrée du chateau de Cherverny entrainent quand même certaines remarques : plus de 30kgs en plus et par contre moins de cheveux.... Le vélo aussi a changé . L'an dernier c'est un VTT, que j'avais emprunté à un "touriste" pour faire la photo, mais lors de cet été 54 c'est un véritable mini tour de France que nous avions entrepris avec une douzaine de jeunes du CC de Sommières . Itinéraire :Nimes Saint Etienne, Nevers, Orléans et les châteaux de la Loire, Tours ,Les Sables D'Olonne, Limoge,
Saint Flour, Langogne et Alès .J'ai cependant oublié le nombre de kilomètres.... Posted by Picasa

samedi, septembre 16, 2006

1986 la cave coopérative de Villevieille

l'aspect de la cave a lui aussi changé. Il n'y a plus de chevaux et plus de"pastières" en attente. Les tracteurs déversent automatiquement leur immense benne dans le fouloir. Posted by Picasa

la première machine à vendanger à VILLEVIEILLE

1984 : fini les "pastières" et les "cornues" tirées par les chevaux Le tracteur a remplacé tout çà. Fini aussi les équipes d'espagnols de plus en plus exigeants quant à l'hébergement et au gain. La machine à vendanger est entrain de résoudre ces problèmes. En deux heures la grande vigne qui est devant le mas sera vendangée alors que les autres années avec sa "colle" Richard devait prévoir plus d' une journée de travail.... Posted by Picasa

Moi aussi j'ai Vendangé ! c'était en 1950 !

Afin de pouvoir m'acheter mon vélo de course 50.000frs( marque Tendil de Nîmes) j'ai fait la campagne au chateau d'Aujargues....presque trois semaines où il a fait tous les temps. Ce n'était pas à prix fait.... mais le "pelo" était toujours derrière nous . Le dernier jour, jour de paye il y a eu un petit gouter...tellement arrosé que je suis rentré, même à bicyclette...difficilement Posted by Picasa

VENDANGES en FAMILLE dans les années 50

Les petits propriétaires enlevaient leur récolte en mobilisant bien souvent leur famille Posted by Picasa

VENDANGES à SOMMIERES (env. 1930)

Deux jeunes vendangeuses Posted by Picasa

uhe "COLLE" de vendangeurs au "Mas d'Avignon"

En ce temps là les "gros propriétaires" avaient besoin d'une importante main d'oeuvre pour rentrer le récolte qui durait parfois plus de trois semaines . Il y avait un porteur pour quatre coupeurs et bien que pénible c'était après la journée ...un peu la fête pour ces "gavots" descendus de la montagne pour faire les vendanges. Par la suite, dans les années cinquante cette main d'oeuvre fut remplacé par des saisonniers espagnols qui venaient par famille entière et qui enlevaient la récolte à "fréfet" comme l'on disait à tord (il s'agissait en fait de prix fait) ou à la tonne . Là ce n'était plus de la rigolade ni de la journée de huit heures. Plus on rentrait de raisin et plus on gagnait et à la fin des vendanges tout ce monde retournait dans son pays les poches pleines car ici ils ne dépensaient rien puisqu'ils étaient nourris et logés . Posted by Picasa

Les VENDANGES au début du siècle dernier

Ici la reproduction d'une plaque photographique d'avant la guerre (14/18) A l'époque il était difficile de sortir les "pastières" pleines de raisins, des vignes du bord du Vidourle. C'est pour cela que trois chevaux étaient souvent nécessaire. Posted by Picasa